Il travaille à la mise en page du journal Espérance 4 fois par an depuis 1994, de préférence en nocturne ou le week-end,
depuis 1994, il a vaillamment supporté les retards des textes, les photos basse qualité, les ébats sonores d'enfants des responsables, les lubies du directeur de publication, les corrections orthographiques interminables de la responsable du journal, les textes trop longs à caser quand-même,
et il a persévéré!
allez, du moment qu'il a son Mac, ses chats, sans oublier un accès illimité à sa femme et sa fille par facetime tout en travaillant, tout va bien:-)
BRAVO ET MERCI, JACQUES-OLIVIER!